Me voilà figé, emprisonné, « encapsulé » écrirait Günter Grass, dans cette fenêtre-miroir remplie d'arabesques intérieures, foisonnantes, me retenant comme des lianes ou un liseron parasite aux circonvolutions et à l'expansion incontrôlables...
Je me sens pris dans ma propre spirale, le mouvement introspectif et involutif de mon regard, ou plus exactement de mon corps-sténopé (même si la photo a été prise avec un appareil numérique classique).
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